Après être devenu le premier Marocain à accomplir l’Enduroman, considéré comme le triathlon le plus difficile au monde
(135 km de course à pied, 48 km de nage en mer – traversée de la Manche – et 300 km de vélo entre Londres et Paris),
j’ai décidé de franchir un nouveau cap.
Un cap historique. Un cap mondial.
D’ici la fin de l’été 2026, je vais tenter un record du monde de natation en eau libre dans les eaux sénégalaises :
plus de trois jours de nage continue, sans assistance, avec pour objectif de dépasser la distance de référence mondiale.
Ce défi extrême ne sera pas une quête personnelle, mais un engagement au service de la vie :
👉 récolter des fonds pour opérer des enfants atteints de malformations cardiaques, en partenariat avec l’association Mécénat Chirurgie Cardiaque.
Ce record s’inscrira dans le cadre de la mythique traversée Dakar – Gorée, un lieu chargé d’histoire et de mémoire.
Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, l’île de Gorée incarne à la fois la souffrance du passé et la nécessité de transmettre un message d’espoir pour l’avenir.
Nager ici, pendant plusieurs jours, ce n’est pas seulement repousser les limites physiques :
c’est transformer un lieu de mémoire en un espace de renaissance et de solidarité.
Je ne nage pas pour accumuler les titres.
Je nage pour donner un sens à l’effort.
Depuis plusieurs années, je soutiens Mécénat Chirurgie Cardiaque,
et j’ai déjà contribué à récolter plus de 8 000 € pour financer des opérations vitales pour des enfants défavorisés.
Après avoir nagé 48 km dans la Manche,
puis 24 heures en mer au large de Dakar,
mon objectif est désormais clair :
👉 battre le record du monde de nage en eau libre,
👉 et transformer chaque kilomètre parcouru en une chance de survie pour un enfant.
Je le répète souvent :
« Je ne cherche pas la gloire.
Je cherche à transformer l’effort en espoir. »
En parallèle de ce projet, j’écris un ouvrage consacré au dépassement de soi,
où je relie mes expériences d’ultra-endurance aux apports des neurosciences.
Ma conviction est simple :
« La vraie limite n’est pas physique.
Elle est mentale.
C’est notre cerveau qui fixe les frontières.
Et nous pouvons apprendre à les repousser. »
👉 Un record du monde.
👉 Un engagement humanitaire.
👉 Un lieu chargé d’histoire.
👉 Un message universel de transmission et d’espoir.
À travers ce défi, je veux prouver que
le dépassement de soi n’est pas une démonstration de force,
mais un acte d’amour.